Toute l’unité en quelques mots

Ceci est un résumé concis des points couverts dans cette unité. Plus de détails et d’explications sont disponibles dans les leçons précédentes. Comme toujours, il est possible de prendre contact avec nous si un point ou un autre n’était pas entièrement clair. 

Lorsque la femme est niddah, les relations maritales, autres formes d’affection physiques, et même tout contact physique entre les conjoints, sont interdits. Des lois supplémentaires, les har’hakot, qui sont expliquées ci-dessous, doivent également être observées. Il est essentiel d’observer ces règles avec soin et sensibilité, tout en préservant la proximité , la communication et le soutien émotionnel à chaque étape de votre vie maritale.

Les conjoints ne peuvent se toucher, même à travers des vêtements, ni se passer des objets directement.

Durant le repas, un rappel (heker) que la femme est niddah doit être présent. Il est interdit de manger d’une même assiette. Le mari ne peut boire ce qui reste dans le verre de la femme (certaines autorités interdisent également de finir les restes de nourriture dans l’assiette de la femme).

Deux lits séparés sont nécessaires pour dormir. Il y a également des restrictions concernant s’asseoir ou s’allonger sur le lit de l’autre, même s’il n’est pas présent.

Certaines tâches sont considérées comme comprenant intrinsèquement un facteur affectif. Il n’est ainsi pas permis de verser du vin pour son conjoint, de lui faire couler son bain ou de préparer son lit.

Il convient de s’habiller de façon modeste devant son mari. Il est tout à fait permis de s’habiller joliment et de se maquiller.

Les interactions romantiques ou frivoles sont à éviter, tout en restant sensible aux besoins émotionnels de l’autre.

Lorsque l’un des conjoints est malade, l’autre peut lui donner tout soin et support qui est nécessaire. Le mieux est de poser une question spécifique pour chaque situation donnée.

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Copyright © 2008 Deena Zimmerman et Ilana Sober Elzufon. Tous droits réservés.