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Conduite durant les Onot Perichah Les onot perichah ont été établies afin de minimiser la possibilité qu’une femme devienne niddah au moment où elle a des relations maritales avec son mari. Durant l’onat perichah, les relations maritales sont proscrites, afin de minimiser le risque d’avoir ses règles durant les rapports. Les autres formes d’affection sont permises, mais chaque couple doit utiliser son bon sens pour déterminer de ce qui est convenable. Certaines communautés ont la coutume de s’abstenir des baisers et embrassades. Les autres har’hakot ne sont toutefois pas en vigueur durant les onot perichah. Une fois l’onah passée, les relations maritales sont de nouveau permises. Si vous voulez avoir des relations à ce moment du mois, mais que vous craignez que vos règles ne débutent, nous vous recommendons de faire une vérification externe avec du papier toilette ou un tissu de couleur. Ne vous vérifiez pas immédiarement après avoir uriné. S'il n'y a pas de tache, vous pouvez avoir des relations intimes. Si vous trouvez une tache, vous ne devenez pas niddah mais devriez vous abstenir d'avoir des relations en précaution au cas où vos règles seraient sur le point de débuter.
Durant l’onat perichah, il est nécessaire de vérifier si les nouvelles règles ont débuté au moment anticipé. Il faudra donc effectuer au moins une bedikah à un moment de l’onat perichah, de préférence vers la fin de cette période. Certaines femmes font deux bedikot (une au début et une à la fin) ou même trois (au début, au milieu et à la fin), mais si la vérification fait mal, ou si l’irritation peut causer une bedikah problématique, alors une seule bedikah suffit. Même si votre coutume est de faire deux ou trois bedikot, dans les cas où l’onat perichah tombe la nuit, il n’est pas nécessaire de se lever spécialement tôt afin de faire une bedikah avant le lever du soleil; il suffit de faire une bedikah une fois la nuit tombée, et une deuxième au réveil le lendemain matin. La reproduction du contenu de ce cours pour tout autre usage que personnel est interdit tant par la loi Juive que la loi civile.
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